PASSE COMPOSE ET IMPARFAIT : Complétez par les verbes au passé composé ou imparfait (10) : Tout à coup, il (1 - se produire) un grand mouvement dans la foule. Chaque soir (2 - éclater) un orage qui (3 - durer) une heure. Vers minuit, comme il (4 -sortir) de la maison, un coup de vent (5 - souffler) sa lanterne qui (6 - s'éteindre). A chaque gare, l'omnibus (7 - s'arrêter), (8 - manœuvrer), (9 - attendre) on ne sait quoi, puis (10 - repartir). Ce jour-là, ils (11 - partir) à l'aube et (12 - marcher) longtemps avant d'atteindre la ville qui (13 - se trouver) au-delà de la rivière. Mettez l’infinitif entre parenthèses au passé simple, à l’imparfait ou au passé composé (17) : UN ORAGE. Le soir (1 – approcher), le soleil (2 - décliner) le ciel (3 - être) magnifique. Je (4 - regarder) les collines du bout de la plaine, qu'une immense bruyère violette (5 - recouvrir) à moitié... Tout à coup je (6 - voir) un cantonnier redresser sa claie /= treillage en bois/ couchée à terre et la disposer comme pour s'abriter dessous. Puis la voiture (7 - passer) près d'un troupeau d'oies qui (8 - bavarder) joyeusement. "Nous allons avoir de l'eau, (9 - dire) le cocher." En effet, j' (10 - tourner) la tête : la moitié du ciel derrière nous (11 - être) envahie par un gros nuage noir, le vent (12 - être) violent, les ciguës en fleur (13 - se courber) jusqu'à terre, les arbres (14 - sembler) se parler avec terreur, de petits chardons desséchés (15 - courir) sur la route plus vite que la voiture, au-dessus de nous (16 - voler) de grandes nuées. Un moment après (17 - éclater) un des plus beaux orages que j'aie vus. (Victor Hugo, Le Rhin.) Tout à coup, il (se produire) s'est produit un grand mouvement dans la foule. Chaque soir (éclater) éclatait un orage qui (durer) durait une heure. Vers minuit, comme il (sortir) sortait de la maison, un coup de vent (souffler) a soufflé sa lanterne qui (s'éteindre) s'est éteinte. A chaque gare, l'omnibus (s'arrêter) s'arrêtait, (manoeuvrer) manoeuvrait, (attendre) attendait on ne sait quoi, puis (repartir) repartait. Ce jour-là, ils (partir) sont partis à l'aube et (marcher) ont marché longtemps avant d'atteindre la ville qui (se trouver) se trouvait au-delà de la rivière. UN ORAGE. (Au cours d'un voyage sur les bords du Rhin, Victor Hugo a eu l'occasion d'assister, depuis la voiture où il avait pris place, à "un des plus beaux orages" qu'il ait jamais vus.) Le soir (approcher) approchait, le soleil (décliner) déclinait, le ciel (être) était magnifique. Je (regarder) regardais les collines du bout de la plaine, qu'une immense bruyère violette (recouvrir) recouvrait à moitié... Tout à coup j' (voir) ai vu un cantonnier redresser sa claie (1) couchée à terre et la disposer comme pour s'abriter dessous. Puis la voiture (passer) est passée près d'un troupeau d'oies qui (bavarder) bavardaient joyeusement. "Nous allons avoir de l'eau, (dire) a dit le cocher." En effet, j' (tourner) ai tourné la tête : la moitié du ciel derrière nous (être) était envahie par un gros nuage noir, le vent (être) était violent, les ciguës en fleur (se courber) se courbaient jusqu'à terre, les arbres (sembler) semblaient se parler avec terreur, de petits chardons desséchés (courir) couraient sur la route plus vite que la voiture, au-dessus de nous (voler) volaient de grandes nuées. Un moment après (éclater) a éclaté un des plus beaux orages que j'aie vus. (Victor Hugo, Le Rhin.) (1) claie : treillage en bois. Mettez l’infinitif entre parenthèses à l’imparfait ou au passé composé (17) : 1) 6) 10) 14) 2) 7) 11) 15) 3) 8) 12) 16) 4) 9) 13) 17) 5) Mettez l’infinitif entre parenthèses au passé simple, à l’imparfait ou au passé composé (17) : 1) approchait 6) j’ai vu 10) ai tourné 14) semblaient 2) déclinait 7) est passée 11) était 15) couraient 3) était 8) bavardaient 12) était 16) volaient 4) regardais 9) a dit 13) se courbaient 17) a éclaté 5) recouvrait