CHAPITRJE III 1. Chaque (chose) : s^ens distributif, virtuel. — Chaque (outil) : sens distributif, reel. Aucun (sentier) : sens negatif, equivalent de nul. — Est-il aucun (sentier) : sens positif (equivalent de un). — Certain (chagrin) : quantity ind£terminee, valeur d'attenuation. — Certain (Durand) : emploi stylistique (marque le dedain envers un personnage mal connu ou qu'on affecte de mal connaitre) ; je ne sais quel (Dupont) : meme sens que l'emploi precedent de certain. — Telle (demeure) :\valeur d'ind^termination. — Nul ^andidat) : sens negatif (equivalent de aucun, pas un). \ \ 2. A chaque homme son metier. V- J'ai le meme livre due lui. — Pas un seul soldat ne recula. — Est-il aucun/un seul moment ou Ton puisse/etre heureux ? — Cest un certain monsieur fait d'un certain modele. -— Je ne vois aricune/nulle, pas une maison sur la colline. — Tout/chaque homme peu\ faire cela. —/A chaque temps suffit sa peine. 3. Ferme chaque lundi/tous les lundis\ — Tout/chaque homme averti en vaut deux. — Cela ne dure qu'un certain temps. — Tout hornme/chaque homme porte/tous les hommes portent en soi (eux) un exemplaire de l'numajne condition. — Cent francs chaque kilo. — II m'envoyait un colis trois fois chaque ser^ajne. — Chaque jeudi/,ous les jeudis je vais a la peche. 4. Votre travail est nul (adj. qualificatif). —\ Nul (pronom indefini) n'est cense- ignorer la loi. — II a un certain (adjectif ind£/ini) age, cela est certain (adj. qualificatif). — II a travaille toute (adj. qualificatif) la joiirnee. —\ A tout (adjectif indefini) peche mis^ricorde. — Tons (adjectif indefini) les hommes sont failllbles. — J'ai la meme (adjectif indefini) veste que lui. — Toute (adj. qualificatif) la ville en\parle. — Je suis tout (adj. qualificatif) a mon travail. — Tout (pronom itwefini) est dans\tout (pronom indefini) et reciproquement. — Le tout (nom) pour le tout/(nom), il n'y a rien d'autre a tenter. — Cet autre (adjectif indefini) livre ne m'appartient' pas. — Autres (ado. qualificatif) temps autres (adj. qualificatif) mceurs. — Elles sont tout (adverbe) en larmes\ — Ouvrez vos oreilles toutes (adverbe) grandes. — Les nuits memes (adjectif indefini) etaient brulantes. — Dieu est la bonte meme (adjectif indefini). -I— Tel (adjectif indefini) individu vous aborde, que faites-vous ? — Telle (adj. qualificatify est la conclusion a laquelle\j'arrive. 5. Cinq et cinq font dix : emploi absolu, sont de veritacdes substantifs. — Trois hommes dans un bateau : adjectif cardinal dans son emploi propre. —Nil mange comme quatre : valeur stylistique d'approximauon pour marquer la quantite. — Cela sW passe en quatorze : employe absolument et sans I'expression des mille et des centaines pour indiquer une annee historique. — II a vu trente-si» chandelles : valeur stylistique pour marquer. l'ind&ermination, la grande quantite. — Je vous l'ai deja dit cent fois : nous viendrons le qulnze : cent : valeur d'inde-termination pour marquer la quantite; quinze : employe substantivement pour indiquer le quantieme. — Le conseil des dix doit se reunir le onze : dix : employe absolument; onze : emploi absolu pour donner le quantieme. — Vingt fois sur le metier remettez votre | ouvrage : valeur stylistique d'ind£termination pour marquer la quantite. — Deux alpinistes sont tombes dans une crevasse : adjectif cardinal dans son emploi propre. — Livre deux, chapitre trois : emploi pour l'adjectif ordinal. — Je vous envoie mille baisers : valeur d'indetermination pour marquer la quantite. CHAPITRE V ^1^11 ne les voit pas. — II en mange. — II n'en voit pas. — J'en mange. — II le mange. —i lis restent dans leur nid. — II en reste sur le fil. j ^£)jean netait pas fort, il Pest devenu. — II admirait trop les champions pour ne pas I essayer d'en devenir un. — Champion, il avait voulu Petre. — Ces champions l'attiraient, il aurait voulu les imiter. — Pierre n'a pas d'argent; il lui en faudrait. — Pierre n'a pas son livre; il \e lui faudrait. 3yje les vois. — J'en vois. — II Pa. — II en a. —J'en aurai. — J'y viendrai. — J'irai. 4/Je les lui demanderai. — Je lui en apporterai. — Je leur en demanderai. — Je Pen excuserai. — Je lui en emprunterai. — Je le lui emprunterai. 5ytoites-le-lui. — Ne le lui dites pas. — Apportez-lul-en. — Apportons-le-Iui. — Achetons-lui-en un. — Achetons-Ie-lui. ^Pj'irai I'y voir. — Je pense Py rencontrer. —. Je finirai de I'y lire. — Je vais leur rendre visite. — Je crois y en trouver. 7. Je les ai entendus en parier. — Tu Pas laissé s'adresser ä lui. — II lui en a fait cons-"ffuire un. — II le lui fera commander. — Je les y envoie jouer. f 8JEcoute-le en parier. — Ecoute-le leur parier. — Ne lui en fais pas couper un. — j—llegarde-Ies se Ie disputer. — Laisse-le lui faire. CHAPITRE VI 4^Les miens (nominal) étaient de Provence et cela (nominal) se sent en moi. — Ceux (nominal) de son rang et Celles (nominal) de votre naissance. — J'ai apercu votre fils, il est plus grand que le nötre (representant). — J'ai vu votre fils et aussi celul (representant) de vos voisins, celui (representant) qui (representant) a les cheveux roux. — Ce (nominal) sont deux beaux animaux ; lequel (representant) préférez-vous ? celui-ci (representant) ou celui-Iä (representant) ? — Tous, ceux (nominal) de Friedland et ceux (id.) de Rivoli. — Qui (nominal) dort dine. — L'homme que (representant) je vois est le mémé que celui (representant) que (representant) j'ai apercu. — Celui-lä (nominal) sera recompense qui (representant) aura travaille avec ardeur. — Beaucoup (nominal) seront appelés, peu (nominal) seront éius. — Chacun (nominal) son tour. — Tel (nominal) est pris qui (representant) croyait prendre. — Ce (nominal) que (representant) Ton concoit bien s enonce clairement. — Cette histoire n'est pas ce (nominal) qui (representant) m'interesse vraiment. — II ne faut pas désirer le bien d'autrui (nominal). — Rien (nominal) c'est moins qu'un rien puisqu'un rien c'est toujours quelque chose (nominal). ^^Voici mes deux fils, celui-ci (valeur demonstrative propre) est l'aine. — Chaque jour je vois le malheur entrer chez celui-ci, entrer chez celui-lä (valeur indéfinie). — Celui-lá (valeur demonstrative, avec insistance : remplace le pronom personnel) a vraiment de la chance. — D'aucuns (sens positif) penseront que c'est impossible. —c II est parti sans personne (sens positif) avec lui. — Quelqu'un est-il venu (valeur indéfinie) ? — Holá! c'est que Dupont c'est quelqu'un ! (valeur emphatique de laudation). — Comment choisir entre 248 249 ces deux livres ? Refuser 1'un ou I'autre (valeur disjonctive) est bien delicat. — J'ai appris par 1*1111 ou I'autre de ses amis (valeur d'indetermiiiation) qu'il veut abandonner ses etudes. ft 3.yt'homme dont j'admire le travail est le cousin de qui vous savez. — II me parla de ses ^-enfants dont je connaissais quelques-uns. — Les promesses sur la foi desquclles il se fonde ne sont, helas ! pas bien sures. — II sait a qui il parle et a quoi il s'expose. — Voila le bonheur auquel (ou dans l'usage dassique) j'aspire. — L'homme a qui je m'adresse est aimable. — La question a quoi/a laquelle je fais allusion est assez compliquee. — II faut toujours s'adresser a qui est capable. — Les clients du bazar achetaient qui une poupee, qui un ballon, qui un cerf-volant, qui des boules. — Le jardin dont (duquel) vous etes proprie-taire. — Voici ce dont il s'agit et voila ce dont il faut eviter la repetition. — Voici ce qu'il faut eviter. C4./Qui (sujet) va la) ? — Qui (attribut du sujet) done es-tu ? — L'homme dont (complement determinatif de l'objet direct) j'apercois la tete ne m'est pas inconnu. — Je me demande qui (complement d'objet de pendra) on pendra. — Cet individu vit aux depens d'autrui (complement prepositionnel). — Voici tous les fromages dont (complement du verbe) le rat a mange. — Tu es tombe en quoi faisant (complement d'objet de en faisant) ? — Que (attribut du sujet) deviendras-tu ? reflechis bien : a la fin tu seras quoi ? (attribut du sujet) un pauvre type ! — Lequel (complement d'objet direct de prends) de ces livres prends-tu ? — J'ai parcouru queiques-uns (complement d'objet direct de j'ai parcouru) de ces livres. CHAPITRE VII pron L^Un rayon trěs solaire. — Un nez trěs aquilin. — * Un adjectif trěs qualificatif. — * Un ironom trěs personnel. — Un trěs bon professeur. — * Un depute trěs royaliste. — * Un garde trěs républicain. — Une trěs grande république. — Un homme trěs économe. — * Un verbe trěs intransitif. — * Mon genou trěs droit. — Une cuisine trěs nourrissante. — Un trěs gentil cousin. — * Un port trěs maritime. — * Un port trěs immense. — Un imbecile trěs heureux. (Le signe * indique une impossibilité). 2. fine mechante piece : « mauvaise »/une piece mechante : « pleine de mechancete Un triste individu : « peu recommandable »/un individu triste : « triste », au sens propre. — Un bon soldat : « dont les qualites militaires sont bonnes »/un soldat bon : « qui fait preuve de bonte ». — Un simple soldat : « Un soldat non grade »/un soldat simple : « d'un abord avenant » ou « qui ne jouit pas de tout son bon sens ». — Un ancien chef : « qui ne Test plus »/un chef ancien : « de longue date ». — Un brave garcon : « bon »/un garcon brave : « courageux ». — Un fier imbecile : « imbecile au plus haut degre »/un imbecile fier : < qui fait preuve de fierte ». — Un curieux eleve : « pas comme les autres »/ un ileve curieux : « qui fait preuve de curiosite ». — Un maigre repas : « peu abondant et peu riche »/un repas maigre : « sans viande ni matieres grasses ». — Mon propre velo : « le mien » avec insistance/mon velo propre : sens propre. — Un spirituel directeur : « qui a de l'esprit »/un directeur spirituel : « qui s'occupe de la conduite spirituelle de celui dont il a la charge ». 250 (] 3yUne surface carrée. — Une veste matron. — Un roc caractéristique.. —i Le principe monarchique. — Une plaie profonde de trois doigts. — Le vaillant Achille. — Le vingtiěme jour. — Un grand chambardement. — Une bataille longue de deux heures. — Un bref exposé. r. «ÜFou : [fol], folic. — FIou : [flu], floue. — Complet : [kopist], complete. — Vleux : T""ivjej], vieille. — Enfantin : [áfáčtin], enfantine. — Malin : [malin], maligne. — Doux : [dus], douce. — Hindou :[šdu], hindoue. — Menteur : [mátoz], menteuse. — Blanc : [blaj], blanche. — Dröle : invariable phonétiquement et orthographiquement (drölesse est uniquement substantif). — Aquilin : n'a pas de feminin. — Jumeau : [zymel], jumelle. — Public : [pyblik], publique. — Grec : [gRsk], grecque. — Net : [net], nette. — Subtil : [sybtil], subtile. — Beau : [bel],-"belle. — Gentil : [jčětij], gentille. — Gré-geois : n'a pas de feminin. — Leger : [le^eR], légěre. — Fat : n'a pas de feminin. — Säur : n'a pas de feminin. — Niais : [njez], niaise. — Vermeil : [vsRmej], vermeille. — Nul : [nyl], nulle. — Benin : [benin], benigne. — Roux : [rus], rousse. — Franc : a) [fnäj], franche; b) (peuple) : [fRČčk], franque. — Türe : [tyRk], turque. —< Aigu : I [egy], aigue. — Impromptu : n'a pas de feminin. <*ln+0U^'^JL» &^S**JL* "¥~- [ 5yUn costume de moindre prix. — II est meilieur que Jean. — II est plus bon que courá- a i- .«™iJ» per nire uue le mal. — Sa santé est Jus mauvaise que jamais. - Jean et Jacques sont plus pet,* que Pau1. - M«* on plus grands que Pierre. - Le txajet est plus long que ,e ne pensats. - II est supeneur que j'imaginais. CHAPITRE VIII ^I^Ce cafe est bien/beaucoup meilieur. — Car nos enfants, Seigneur, nous sont bien neces-saires. — Ce travail est bien mal presente. — Votre fils est le plus grand, de beaucoup. — Je suis bien content, bien/beaucoup plus qu'hier. — Vous avez bien de la chance. — J'en ai bien/beaucoup moins. 5i> Si jamais... (sens positif : « en un temps quelconque »). — Venez ici tout de suite (« immediatement »). — Aujourd'hui vous ne partez pas aussi tdt qu'hier (sens oppose a aussi tard). — Aussitot qu'il me vit... (sens : « dans le moment meme »). —■ Vous ne gagnerez jamais ce concours (sens negatif : « en aucun temps »). — II but trois verres de limonade de suite (sens : € consecutivement »). — Tout a coup le ciel s'obscurcit (sens : « soudainement »). — II tomba tout a coup malade (sens : « soudainement »). — II avala le contenu de sa gourde tout d'un coup : (sens : « en une seule fois »). — Demain venez done plus tot : (sens oppose a plus tard). — Plutot venir ! (sens : « de preference »). 3.)je no crains pas qu'il commette une erreur. — Je n'ai pas peur que vous arriviez avant Jfioi. — Je ne doute pas qu'il (ne) vienne (on met ordinairement ne, sauf quand on veut exprimer un fait qui ne fait aucun doute). — Je ne suis pas plus heureux que vous (n')etes. — Je ne vis pas dans la crainte qu'il arrive quelque malheur. — Je n'ai pas peur qu'il parte. — Je ne nie pas que vous n'ayez raison (on omet ne surtout quand on veut exprimer un fait qui ne fait absolument aucun doute). — La ville n'etait pas plus petite qu'elle (n')est de nos jours. — Le soleil n'est pas plus chaud qu'il (n')est aujourd'hui. — Je n'ai pas evit6 qu'il tombe. 251 QUI 6 A I 4. Alalgre son age notre champion court encore. — On a seme des fleurs partout. — ^"€«t un gentil garcon dont on se moque presque. — Comment faut-il proceder pour reussir ? — Reilechis longtemps avant d'agit. — Partir c'est presque mourir. — Jamais je ne m'ennuie/je ne m'ennuie jamais. — J'y arriverai fort aisement. — Dans presque chaque village, il y a un foyet rural. — Non seulement on le paye mais encore on le nourrit. CHAPITRE IX f \J\\ ne boit ni ne fume. — L'argent et la gloire sont les biens ou j'aspire. — L'argent ^-6t la gloire ne sont que des illusions. — Ni l'argent ni la gloire ne m'interessent. — II aime son pere et sa mere, mais n'obeit ni a l'un ni a l'autre. — II ne viendra pas car il est malade. — II n'oublie pas son interet, ni le mien ; mais il ne pense guere a ses freres et soeurs. — II fait beau ? Vous viendrez done ? (dans ce cas, on remarquera que done res-semble autant a un adverbe qu'a une conjonction). — II faut choisir : vivre libre ou mourir. G tyje táche d'etre gentil et je suis désagréable : valeur adversative. - Et moi sůr de mon ZTi 'l'air16 ? "Z laUlierS : VaIeUI d*' - řleconnaH TJtL • i adVeXSatiVe- - 11 faut se démettre ou se soumettre : valeur Et unTr; ""Z6 TCZ °U Íe "e m'aPPelle PlUS D'Artagna" : -plicativl _ H.t un derm, un ! : valeur d intensitě. Zlil cl" ^ 1 56 PT biCn- - J£ 1,6 SOrtirai ^ k m°ins - fasse «TLI* ek,Pr0Vlent dC " ""'on ne fait pas assez attention. _ Je 1'ai informé que S ce aůe/aueete ,re,e tee' "7 * " ^ M ^~ * ™ -nds compte ae ce que/que cela nest plus possible. 4^ voyage en auto dans lauto de mon ami. - Aujourd'hui je suis a Paris; demain fffiu a Toulouse. - II est arrive par le car de midi. - A 1'ecole, je suis en classe de premtere. - Dans la classe de M. Durand dont le frere est professeur a 1'univ d Bordeaux et depute de 1'Assemblee nationale, il n'y a que vingt eleves. - Je ne I' pas revu depu.s mes quinze ans. - Alio! je vous parle de ma maison de Nancy CHAPITRE X 1. Un abime. — Une acous ancre. — Un anthracite. • asphalte. — Un astérisque. Un élastique. — Une enzyme. ■ Une equivoque. — Un globule Un indice. — Un myosotis que. — Une Un trophee. apogee. :. — Un alambic. — Une alcove. — Une Un apologue. — Une apostrophe. — Un .jsphere. — Un balustre. — Une echappatoire. — epigramme. — Une epigraphe. — Un epigone. — k. heliotrope. — Un hemis'iche. — Une icone. — a. -y Une myrfade. — Un myrte. — Une oasis. — Un obelis-orbite. — Une/oriflamme. — Un petale. — Un sepale. — Un tentacule. — 2. Aileron : diminutif de aile. — Ballon : augmentatif de balle. — Bistrot : établissement/ bistrote : patronne de l'etablissement. — Carafon : diminutif de carafe. — Cerisier/cerise : arbre/fruit. — Echelon : element de 1'échelle. — Fermier/fermiére : opposition de sexe. — Grélon : grain de gréle. — Liěvre/hase : opposition de sexe. — Limacon : diminutif de limace. — Moucheron : diminutif de mouche. — Olivier/olive : arbre/fruit. — Poirier/ poire : arbre/fruit. — Bavon/savonnette : matiěre/objet fait de cette matiěre; quand savon a le sens de mqrceau de savon, savonnette fonetionne comme diminutif. — Veilleur/veilleuse : homma qui garde un établissement la nuit, veilleur de nuit/lampe de faible intensitě qui permet W veiller. / 3. Couples qui représentent une veritable opposition masculin/féminin : canard/cape; daim/ daine; cerf/biche; étalon/jumínt; jars/oie; sanglier/laie; verrat/truie. Couples qui ne représentent pas une veritable opposition de sexe (il s'agit ďespěces différentes)/: grenouille/ crapaud ; perruche/ perroquet; Isinge/guenon ; souris/fat. 4. Aide : f. assistance; m. celui qui aide. Barde : f. tranche de lard ; m. poöie celtique. Coche : f. entaille, femelle du cochon; m. voiture, bateau. Crépe : f. rond de pate frite; m. étoffe. Critique : f. jugement portě sur une csuvre; m. celui qui pratique la critique. Garde : f. .action de garder; m. celui Wi garde. / Guide : f. laniěre de cuir qui sert ä conauire les chevaux/; m. personne qui conduit. Livre : f. mesure de poids; m. ouvrageA / Manche : f. piece ďun vétement ou l'on passe le bras'; m. partie adaptée ä un outil pour le tenir en main. \ / Manoeuvre : f. suite de mouvements coordonnés en vue d'atteindre un but; m. ouvrier qui fait le gros ouvrage. Memoire : f. faculté de se souvenir; m. expose éerit. Mode : f. usage passager de se vétir; m. maníěVe d'etre. Moule : f. fruit de mer; m. recipient. Mousse : f. plante; m. apprenti marin.^ Office : f. lieu oil les serviteurs preparát le serwee du repas; m. charge, service religieux, organisme dans une administrations Ombre : f. endroit přivé de lumiěre/m. poisson deXlac. Page : f. coté d'un feuillet; m. ieüne garcon qui sért un prince. Pendule : f. horloge; m. balancier aux mouvements isochrones. Platine : f. piece plate de certíins instruments ; m. metal. Poste : f. organisation de Kácheminement du courrien; m. lieu assigné pour remplir une fonction. / \ Solde : f. paye du soldát/ m. partie ďun compte qui teste a payer. Somme : f. total de corpaissances, quantité d'argent; m\ sommeil. Tour : f. construction álevée; m. mouvement circulaire. \ Vapeur : f. gouttelettesis'elevant d'un liquide; m. bateau 'ä vapeur. Vase : f. bourbe; m. recipient. Voile : f. toile attachée a un mát de navire; m. étoffe qui sert ä cacher. 5. Cette concierge est gentille mais cette employee n'est pas aimable. — [sst kosjeRj £ zatij mz szt aplwaje ns pa emabl]. 252 253