I V. L E S E X P A N S I O N S D U N O M RÉSUMÉ: Les expansions du nom font partie du groupe nominal et disparaissent lors de la réduction à la phrase minimale. Elles regroupent: – l'adjectif qualificatif épithète – qui forme bloc avec le nom. Sa place avant, ou après le nom, est déterminée par l'usage. Il s'accorde en genre et en nombre avec le nom, quelle que soit sa fonction. Il peut lui–même recevoir des expansions et forme avec elles le groupe adjectival. Ces compléments de détermination peuvent être: un groupe nominal, un pronom, un verbe à l'infinitif ou une proposition subordonnée conjonctive. L'adjectif qualificatif présente des degrés de signification: le comparatif relatif qui marque l'égalité, la supériorité ou l'infériorité et le comparatif absolu; le superlatif relatif qui marque la supériorité ou l'infériorité et le superlatif absolu. – le complément du nom – construit à l'aide de prépositions variées et qui peut être un groupe nominal, un pronom, un verbe à l'infinitif, un adverbe, ou une proposition subordonnée conjonctive. Le complément du nom est toujours placé après le nom. – la proposition subordonnée relative – introduite par un pronom relatif, qui suit immédiatement le groupe formé par l'antécédent et ses autres expansions. Le mode du verbe de la proposition relative est, le plus souvent, l'indicatif. – l'apposition – est une expansion du groupe nominal. Ce n'est pas à proprement parler une fonction, mais une construction: elle est détachée du groupe nominal dont elle dépend par une pause à l'oral et par une virgule à l'écrit. L'apposition peut être: – un groupe nominal qui présente un rapport d'identité ou d'équivalence avec le groupe nominal support ; – un adjectif qualificatif (ou un participe passé) qui apporte une précision supplémentaire, non indispensable, et qui est déplacable dans la phrase; – une proposition subordonnée relative qui fonctionne comme l'adjectif qualificatif apposé; – un participe présent, un pronom, un verbe à l'infinitif, ou une proposition subordonnée conjonctive. L'apposition a souvent la même valeur qu'un complément circonstanciel (cause, but, opposition, etc.). E X E R C I C E S IV. a. L'ADJECTIF QUALIFICATIF ÉPITHETE 1) Relevez dans le texte ci-dessous les adjectifs qualificatifs et donnez leur sens: Appel des vents du large. Quand passent les canards sauvages à l'époque des migrations, ils provoquent de curieuses marées sur les territoires qu'ils dominent. Les canards domestiques, comme attirés par le grand vol triangulaire, amorcent un vol inhabile. L'appel sauvage a réveillé en eux je ne sais quel vestige sauvage. Et voilà les canards de la ferme changés pour une minute en oiseaux migrateurs. Voilà que dans cette petite terre dure où circulaient d'humbles images de mare, de vers, de poulailler, se développent les étendues continentales, le goût des vents du large, et la géographie des mers. L'animal ignorait que sa cervelle fût assez vaste pour contenir tant de merveilles, mais le voil qui bat des ailes, méprise le grain, méprise les vers et veut devenir canard sauvage. /SAINT-EXUPÉRY/ 2) Ajoutez aux groupes nominaux soulignés les adjectifs placés entre parenthèses: On construit sur la colline une demeure (beau). – Elle portait une jupe de laine, un bonnet à rubans (gros – brun – vieux – noir). – Le requin avanca sa gueule devant l'entrée de la grotte (énorme – terrifiant). – Des briques, une porte de bois ornée de cuivres donnaient une impression de netteté (rouge – verni – rutilant). – Tout au long de nos canaux se succèdent forêts, prés, champs, sentiers (dorés – fleuri). – Les aiguilles de l'oursin perçaient la chair de ses pieds (long – noir – tendre). – La jeune fille appréciait sa bonté (profond). 3) Remplacez par un adjectif qualificatif les mots en italiques: Deux jardins touchant l'un à l'autre. – Un métier qui apporte du profit. – La dignité d'éveque. – Un soleil de printemps. – Un fruit qui est en forme d'oeuf. – Un plan de cinq ans. – Une beauté qui étonne. – Un mur appartenant à deux propriétés contiguës. – L'aliénation de l'esprit. – Un témoignage conforme à la vérité. – Un journal paraissant tous les jours (une fois par semaine). – La bonté de la mère. – Un visage qui a un teint très rouge. – Un défaut qu'on ne peut surmonter. – Un homme qui parle un grand nombre de langues. – Un travail qui procure un bénéfice suffisant. 4/ Remplacez les compléments du nom par des adjectifs épithètes: une enquête de justice – les activités de l'école – les guerres de Napoléon – un château du Moyen Age – une mentalité d'enfant – un accord sur les salaires – l'amour d'un père – un sentier dans la forêt – le consentement des syndicats – un accord entre les nations – une idée de génie – les sports d'eau. 5) Traduisez: Náš pokoj není přliš hezký, ale je prostorný a pohodlný. – Když uviděl své dávné přátele, měl nesmírnou radost. – Kniha, kterou jsem četl minulý týden, nepojednává o žádném novém tématu, nicméně je velice zajímavá. – Proč jste si koupil to červené auto? Vaše staré auto se vám již nezdá dobré? – Jak se jmenuje jeho nový přítel? – Slečno, jste velmi hezká, ale nejste příliš zdvořilá. – Člověk se má k lidem chovat slušně. – Ten vysoký, elegantní muž je známý francouzský herec. Vedle něj stojí krásná, štíhlá blondýnka. To je jeho nová manželka. – Všechny tyto problémy jsou v poslední době velice aktuální. – Je to zajímavá, ale velice komplikovaná situace. – Znáte nejdůležitější francouzské přístavy? 6) Accordez les adjectifs entre parenthèses: Une parole (indiscret) ou (ambigu) cause parfois de regrettables querelles. – Quand vous faites une communication (secret), ne la faites pas en présence d'une (tiers) personne: celle-ci pourrait être (indiscret). – Cet enfant a la figure (pâlot); sa santé s'accomoderait fort du grand air et de la vie (paysan). – La face de la nature n'est-elle pas (expressif) comme celle de l'homme? – Il faut savoir accomplir avec une joie (discret) sa besogne (quotidien). – Une inquiétude (continuel) rend l'humeur (ombrageux). – L'opinion (public) est versatile; parfois, (las) de louer quelqu'un, elle se prend à le blâmer. – Souvent les paroles (moqueur) révèlent une certaine indigence d'esprit. – L'enfance est (naif): elle éprouve une joie (vif) au récit des histoires (merveilleux). 7) Mettez à la forme convenable les adjectifs entre parenthèses: La maison paternelle. Lorsque, après une (long) absence, je revois fumer le toit de la maison (paternel), une (doux) émotion m'étreint, une joie (intérieur) m'envahit. Voici les fenêtres (jumeau) avec le sourire de leurs géraniums et la (frais) invitation de leurs rideaux de tulle. Voici la cuisine (propret) pavée de céramique (blanc); elle est un peu (vieillot) avec la (maître) poutre qui barre son plafond, avec sa batterie (complet) de cuivre rouge et ses assiettes (fleuri), avec sa (grand) horloge à gaine, qui rythme comme autrefois sa (discret) chanson, /GREVISSE/ 8) Mettez au pluriel: Un gros livre. – Un beau vitrail. – Un exposé magistral. – Un nouveau voyage. – Un texte original. – Un chantier naval. – Un prince féodal. – Un discours banal et injurieux. – Un livre hébreux. – Le nouveau journal quotidien. – Un affreux fléau. – Un moulin banal. – Un rocher fatal. – Un hideux épouvantail. – Un monument colossal. C'est un aéroport international. – C'est un centre industriel. – Vous achetez ce précieux vêtement blanc? – C'est un port commercial. – On examine le problème actuel. – C'est un problème social. – J'admire ce beau tableau enchanteur. – Ce n'est pas un homme très amical. – Cet enfant est très beau. – Le prix est assez bas. – J'aime le pays tropical. – Son bijou est précieux. – C'est le canal principal. – Prends ce papier bleu. – Je vais vous montrer un vieil hôpital.– C'est un bateau français. 9) Accordez les adjectifs entre parenthèses: Veuillez agréer l'expression de mes sentiments bien (cordial). – Les climats (équatorial) n'ont pas de saison sèche; les climats (tropical) ont une période pluvieuse et une période sèche. – Les temps (féodal) ont connu les fours, les moulins, les pressoirs (banal). – Le mistral, le sirocco, le simoun sont des vents (régional). – Les véritables historiens doivent se montrer (impartial). Après des compliments (banal) on s'assit autour de la table. /DE GAULLE/ – Il fit son entrée dans Moscou sous sept arcs (triomphals). /VOLTAIRE/ – Les chantiers (naval) recherchaient la vitesse par la beauté. /VERCEL/ – Les pourparlers, fort brefs, étaient devenus presque (cordial). /HERMANT/ – Ces passants (matinal) rangés contre les maisons, les gens aux fenêtres saluent. /AUBRAY/ – Eh bien, mes amis, j'ai, moi, Jubier, rejeté l'enseignement de mes côteaux (natal). /BEDEL/ 10) Donnez le sens des adjectifs suivants: Un triste résultat – un film triste – un triste individu – une triste histoire. Le dernier été – l'été dernier – à la dernière mode. Une copie nulle – nulle envie – un match nul. Un fier imbécile – un homme fier – une fière allure. Une seule femme – seule une femme – une femme seule. Une méchante affaire – un méchant garçon – un chien méchant. Du linge propre – mes propres draps – c'est le mot propre – ce sont ses propres mots. Un certain courage – un courage certain – certaines personnes – il en est certain. De maigres économies – une femme maigre – une viande maigre. Un grand immeuble – un homme grand – un grand homme. Un vilain enfant – le vilain temps – un enfant vilain. Ton sacré travail – une tâche sacrée – sacré coquin. Un drôle d'individu – un film drôle – une drôle de chaleur. D'honnêtes résultats – un honnête homme – un magistrat honnête. Un vague parent – un souvenir vague de cette époque. De pauvres habits – la pauvre fille! – une famille pauvre – un sol pauvre – un esprit pauvre – un coeur pauvre. Son cher enfant – il vend les légumes cher – sa chère liberté. Une ancienne usine – une maison ancienne – son ancien mari. Une fille simple – une robe simple – un simple soldat – un simple geste. Une curieuse histoire – un enfant curieux. 11) Faites l'accord des adjectifs: Mon père et ma mère sont (bon). – Des chemins et des autoroutes (nouveau). – Le lièvre et la grenouille sont (craintif). – L'atmosphère et la mer sont (bleu). – Il travaille avec une patience, un acharnement (étonnant). – (Content) de leur journée, Pierre et sa sœur rentrent (joyeux) à la maison. – Ce dessin et cette caricature sont (amusant). – Des chrysanthèmes et des héliotropes (charmant). – Un roman et plusieurs nouvelles (intéressant). – Ces arabesques et ces paraphes sont (prétentieux). – Cet homme déploie un courage, une énergie peu (commun). – Il avait pour sa mère une tendresse, une vénération (émouvant). – Une table et une armoire (verni). 12) Accordez les adjectifs selon le sens: Un tas de feuilles (mort). – Des feuilles de papier (rectangulaire). – Un vol d'oies (sauvage). – Une corbeille de fruits (mûr). – Des colonnes de marbre (épars). – Un livre d'images (relié). – Un verre d'eau (gazeux). – Des bas de coton (troué). – Un mur de pierres très (haut). Un auteur de romans (vendu) dans le monde entier. – Un foulard de soie (bleu). – Un acte de guerre (caractérisé). – Une forêt de chênes (centenaire). – Une plaque de chocolat (vendu) dix francs. – Un auteur de romans (connu) dans le monde entier. – Un foulard de soie (déchiré). – Un acte de guerre (civil). – Une forêt de chênes (ravagé) par le feu. – Une plaque de chocolat (noir). 13) Faites, quand il y a lieu, l'accord des mots entre parenthèses: Une grande profondeur semble se creuser (vert d'émeraude). /FARRÈRE/ – Nous admirions quel air délicieusement étrange et chimériquement joyeux prenaient sur le tapis ces maisons (vert pomme), (rose), (lilas), (ventre de biche). /GAUTIER/ – Sa figure était (coquelicot). /BOYLESVE/ – Ses yeux étaient (bleu), ses lèvres (rose lilas). /BENOIT/ – Une demi-teinte (violet clair) enveloppe toute chose. /FRANCE/ – Il avait une figure un peu longue, une moustache (châtain clair). /BERNARD/ – Il est vrai que ce chien avait de beaux yeux, des prunelles (marron) avec des lueurs (doré). /FRANCE/ 14) Orthographiez correctement les adjectifs composés entre parenthèses: Des chatons (nouveau-né). – Des personnes (sourd-muet). – Les gens les plus (haut placé).– Des réfléxions (aigre-doux). – Des personnes (nouveau venu). – Des monuments (gréco-romain).– Des adolescents (frais émoulu) du collège. – Des comédies (héroï-comique). – Des portes (large-ouvert). – Les (avant-dernier) pages. – Une maison (frais bâti). – Une brebis (mort-né). – Des personnages (tout-puissant). – Les populations (anglo-saxon).– Les signes (avant-coureur) d'une catastrophe. – La guerre (russo-japonais). – Une fillette (nouveau-né). – La période (gallo-romain). – Les brumes (avant-courrier) de l'automne. 15) Justifiez l'accord ou le non-accord et traduisez: Comment un homme qui a trahi son serment marcherait-il la tête (haut)? – Ceux qui portent (haut) la tête risquent d'être abaissés. – Les arbres jaillisaient (droit) vers le ciel. – Des fumées montaient (droit) dans le ciel. – La gaité de ces gens sonne, (franc et clair), dans la conversation. – Les sources chantent bien plus (clair). /DAUDET/ – Une rivière coulait dans un lit aux bords tranchés (vif). /GENEVOIX/ 16) Accordez, s'il le faut, les adjectifs entre parenthèses: a) Deux (demi) douzaines. – Toutes les (demi) heures. – Les (demi) savants sont toujours prétentieux. – Trois oranges pour nous deux; cela fait pour chacun une orange et (demi). – A (mi) hauteur. – La (mi) temps. – Les (semi) voyelles. b) Ma (feu) mère se plasait à secourir les malheureux. /GREVISSE/ – On ne dit plus aujourd'hui: la (feu) reine; on dit: la reine défunte. c) Tous étaient pieds (nu).– Nous vaincrons les difficultés (haut) la tête. – Nous avons ouvert tous les tiroirs (possible). – Quand nous félicitons quelqu'un, adressons-lui les compliments les plus justes (possible). – Il n'est pas bon que les jeunes gens aient, de l'argent (plein) les poches. 17) Dites, comment se marque le degré de la qualité. De quel degré s'agit-il? Traduisez: Minuit, une nuit d'hiver, noire comme l'enfer. /LOTI/ – Il se borna à parer avec une prudence extrême. /MÉRIMÉE/ – Tartarin se déclarait on ne peut plus satisfait de sa nouvelle existence. /DAUDET/ – Au début de l'existence mon histoire serait simplement celle d'un enfant très choyé, très obéissant. /LOTI/ – Les beaux raisins muscats sont diablement appétissants. /DAUDET/ – Depuis deux mille ans les vérités nouvelles et fécondes sont infiniment rares. /MARMONTEL/ – Le jeune apprenti était assez habile, mais médiocrement intelligent. /VOLTAIRE/ – J'étais étourdi quelque peu mais intact et Justin de même. /DUHAMEL/ – La nature envers vous me semble bien injuste. /ROUGERIE/ – Il n'osait voyager, craintif au dernier point. /Ibid./ – Le premier qui s'avança était un seigneur très riche nommé Itobad, fort vain, peu courageux, très maladroit. /VOLTAIRE/ – Un lion! C'est-à-dire la bête héroïque et féroce par excellence. /DAUDET/ – Je me souviens très bien que mon coeur était léger, léger et comme soulevé. /BOYLESVE/ 18) Rétablissez les comparatifs en prenant garde au sens de la phrase: Les poires étaient (petites) l'an passé. – Nous étions fatigués et le chemin nous a semblé (long) au retour qu'à l'aller. – Cette solution leur semblait encore (mauvaise) que l'autre. – Les pêcheurs sont satisfaits d'avoir rapporté une pêche (abondante) qu'à leur dernière sortie. – Ce n'est pas très agréable, mais c'est un (petit) mal. – Les arbres centenaires de la propriété voisine sont (imposants) que nos maigres thuyas. – Le mulot est (petit) que le rat. – Le jeune lauréat est (fier) que s'il avait battu un record international. – Le niveau de François en mathématiques devient (mauvais) d'année en année. – Le temps est encore (mauvais) aujourd'hui qu'hier. 19) Relevez, dans ce texte, les adjectifs au superlatif et leur compléments. Traduisez: Vieil océan, les hommes, malgré l'excellence de leurs méthodes, ne sont pas encore parvenus é mesurer la profondeur vertigineuse de tes abîmes; tu en a que les sondes les plus longues, les plus pesantes, ont reconnues inaccessibles. Aux poissons … ça leur est permis; pas aux hommes. Souvent, je me suis demandé quelle chose était le plus facile à reconnaître; la profondeur de l'océan ou la profondeur du coeur humain! Oui, quel est le plus profond, le plus impénetrable des deux: l'océan ou le coeur humain? /LAUTRÉAMONT/ 20) Relevez et classez les divers moyens utilisés pour exprimer l'idée de superlatif: Ce grand dadais est fort comme un éléphant et bête comme un panier. – Votre visite est fâcheusement malencontreuse. – Leur ton était poli, poli! – Ce travail est joliment difficile! – Julien, hyperémotif, note tous ses contrôles. – Où avez-vous déniché ce livre rarissime? – Il fait un temps triste à pleurer. – Cet ordinateur est ultra-perfectionné. 21) Traduisez: Není vždy dobré zastávat vyšší místo, než jaké právě zastáváme. – Chyba ve výslovnosti zkazí i ten nejkrásnější francouzský verš. – Je něco vzácnějšího než čest? – Posloucháme pozorněji, když druzí chválí naše přednosti. – Je politováníhodné, že někteří lidé dbají méně na své povinnosti, než na své zájmy. – Žirafa má velmi dlouhý krk. – Srnec je menší než jelen. – Pravý poklad je ten, který činí lidi lepšími. – Velryba je mohutnější než slon, je to největší živočich na světě. – Na nudu není lepší lék než práce. – Největší události jsou někdy způsobeny příčinami, které nejvíce podceňujeme. – Tento filatelista vlastní ty nejvzácnější známky; je na ně nesmírně hrdý. – Na půdách starých domů lze někdy nalézt velice starý, drahocenný nábytek. – Byla to už starší dáma, ale její názory na život byly navýsost moderní. – Gepard je mnohem rychlejší než nejrychlejší chrt, je to nejlepší běžec ze všech zvířat. Velice snadno se dá ochočit. Jeho předení má stejný význam jako předení kočky.