Ø 20.4. A propos l’analyse : l’intertexte, l’image, les jeux des mots L’analyse vient à un certain moment : il s’agit de définir aussi « l’avant » de l’analyse, le moment simultané à l’analyse et le moment « après ». On a parlé du « genre », de la fonction du « titre », des « noms propres » Référence : affirmation et écart : · Dominique Maingueneau montre que la métaphore « possède un rendement heuristique, en ce qu’elle permet d’expliquer analogiquement un domaine nouveau ou peu défini par un domaine connu » (Maingueneau, 2002 : 377), la métaphore « accentue » le nouveau rapport à la réalité posée. · François Rigolot argumente que « la motivation analogique du signifiant ne peut pas se développer aux dépens de l’acte de communication d’un sens» (Rigolot, 1979 : 166). · „… čtenáře (i), který nepřijímá směsici učených stylových prvků a obsahů a lidových prvků a obsahů a který tudíž může četbu odmítnout právě proto, že míchanici rozpoznal, (ii) čtenáře, který se cítí jako ryba ve vodě právě proto, že míchanici rozpoznal, a (iii) nakonec čtenáře, který uchopí celý text jako vlídné pozvání a už si neuvědomuje, nakolik se odvolává na elitní stylové prvky a tudíž si užívá díla, ale přichází o jeho odkazy.^ ^[1]“ Dans l’analyse, il s’agit de capter le « lien » discursif : 1. Perspective du « code » 2. Perspective du « contexte » 3. Perspective du « sujet » · Exemples : · Marjane Satrapi - Persepolis · Jablkoň : « Teta » · Massilia Sound system : « Tout le monde ment » ________________________________ [1] Umberto Eco. „Intertextová ironie a úrovně čtení“, O Literatuře, (přel. Alice Flemrová), Argo 2004, str. 206.