Le Burn-Out où plus communément appelé « épuisement professionnel » se traduit par une fatigue intense et une incapacité à réaliser des objectifs professionnels. Au départ ce terme était réservé aux travailleurs sociaux, très exposés moralement dans leur milieu professionnel, tout comme le corps médical de manière générale. Mais actuellement, on sait que cette pathologie peut toucher un chef d’entreprise comme un ouvrier. Actuellement, un travailleur sur quatre a déjà été en dépression ou victime d’un burn-out. Le burn-out : c’est quoi ? Même si ce mal n’est pas reconnu comme une maladie professionnelle, ce syndrome est systématiquement lié au travail. Les causes Il est encore assez difficile d’expliquer précisément ce qu’est l’épuisement professionnel mais il est certain qu’une personne atteinte, se sent constamment stressée et est soumise à une charge de travail importante. De plus, on a constaté des facteurs aggravants comme le manque de reconnaissance par son supérieur par exemple, l’absence de cohésion d’équipe ou encore le fait de ne pas participer aux décisions concernant la mission. On peut noter que chaque individu ayant un seuil de tolérance différent, chacun ne réagit pas au stress de la même manière. Les personnes qui manquent de confiance en elles par exemple, seront plus exposées à des situations de stress. On ajoute à cela des responsabilités familiales où à l’inverse une vie sociale inexistante, de quoi perturber les objectifs professionnels. Tout le monde est susceptible de subir un stress au travail notamment en fonction de la pression hiérarchique imposée, d’une nouvelle mission, de périodes de crisee ou encore de la remise en cause de vos compétences. Les symptômes Contrairement à certaines idées reçues, les personnes enthousiastes et très investies dans leur mission sont les plus touchées par le phénomène. Attention, il ne faut pas confondre la dépression et le burn-out, la dépression étant une conséquence de cette pathologie. Contrairement à une personne dépressive, lorsqu’une personne est au bord de l’épuisement, elle présente un stress récurent et n’est pas du tout dans une le repli sur soi. Au contraire, elle s’investit de plus en plus dans son travail, cumule les heures supplémentaires, travaille de chez elle sans forcément obtenir les résultats attendus. D’où des montées de stress. On observe aussi des addictions plus prononcées chez les salariés touchés : cigarette, alcool, anti-dépresseurs,... L’épuisement se traduit par une sensation de « vide », des angoisses et se conclut bien souvent par l’incapacité à réaliser des actions simples comme tenir une fourchette ou ouvrir une porte, tout cela du jour au lendemain. On a vu une assistante de direction incapable de tourner la clé de sa voiture. Comment s’en sortir ? Si vous ressentez un stress important ou des angoisses chroniques, il est important d’en parler soit à votre supérieur direct, aux ressources humaines, au psychologue du travail ou directement à votre patron. Plus la période de silence est longue, plus les situations de stress s’accroîtront. Les employés parlent souvent de « noyade », un naufrage à petit feu. Il faut compter 9 mois à 2 ans pour se remettre d’un burn-out. C’est un long travail de thérapie et de revalorisation de soi. La reprise d’un emploi peut-être compliquée, c’est pourquoi il existe les mi-temps thérapeutique. Mais jugé souvent insuffisant surtout si vous revenez dans votre ancienne entreprise où les techniques de gestion de stress n’ont pas évoluées. Récemment, certains députés ont demandés à ce que ce phénomène soit reconnu comme une maladie professionnelle afin que les prises en charge soit plus efficaces et que les employeurs soient reconnus responsables. Une solution qui permettrait également d’alléger les dépenses de la sécurité sociale, en effet les maladies professionnelles s’inscrivent dans la catégorie des accidents du travail financée principalement par les cotisations patronales. RecovEnergy convalescence, grosse fatigue, épuisement, asthénie – Association de plante à action tonique, immunostimulante et adaptogène. Contribue à augmenter la résistance globale de l'organisme face à des perturbations externes ou internes face à des conditions adverses de nature chimique, physique, biologique Substances actives: Panax ginseng, Eleuthérocoque, Sarriette Fiche technique: Association de plante à action tonique, immunostimulante et adaptogène. Contribue à augmenter la résistance globale de l'organisme face à des perturbations externes ou internes face à des conditions adverses de nature chimique, physique, biologique Raison du choix des composants Panax ginseng : Stimulant physique et intellectuel, il agit directement au niveau symptomatique cérébral et périphérique ( ginsenosides), il active les échanges (glycogénèse-diurétique et élimination d'urée). Plante à la fois revitalisante et aphrodisiaque, il améliore la circulation sanguine. L'action immunostimulante est due aux saponines et polysaccharides. Les ginsénosides augmentent les immunoglobulines (chez la souris) et l'activité de la cellule natural killer Eleuthérocoque : Appelé aussi ginseng sibérien, son activité adaptogène est due à une compétition au niveau des récepteurs avec les glucocorticoïdes et les minéralocorticoïdes. Cette action adaptogène se déroule soit dans l'axe hypothalamo-hypophysaire, soit dans l'axe limbico-cortical. Sarriette : Outre son effet tonique, cette plante est ici utilisée pour son action digestive et apéritive.