Séminaire de traduction - Semestre ďautomne 2009 Propositions de traduction de la chanson de Marie Rottrová Lásko, voníš deštěm Jde déšť a já jdu s ním, jdu městem, jež znám a hledám stopy včerejší, včerejší, jdu stejným směrem jak dřív a vzpomínám a všechno zdá se krásnější. Ach, lásko, voníš deštěm, tady jsi řek, myslím, že vítr tehdy vál, vítr vál, jsou to už stovky let, kabát jsi svlek a byl mi velký, ale hřál, krásná lásko. Jak dlouho dlouho ještě půjdu ti vstříc, člověk je velmi krátce živ, krátce živ, má lásko voníš deštěm, jsi z plískanic, však hřeješ stejně jako dřív. I déšť jak dřív je stejný i já já jsem táž jen cosi skříplo v orlojích, v orlojích, byls tu a stále jsi jenom se ukrýváš, jdu deštěm ve tvých šlépějích, ó má lásko. Amour, tu sens la pluie La pluie va et moi aussi je traverse la ville je cherche les traces ďhier, ďhier je vais dans la méme direction et j e me souviens et tout semble plus beau O, Amour, tu sens la pluie c'est ce que, lá, tu dis je crois que le vent soufflait alors, alors 5a fait des centaines ďannées ton manteau enlevé il était grand mais chauffant ô bel Amour Combien de temps encore j' irai á ta rencontre la vie humaine est trés courte, eile est courte mon Amour, tu sens la pluie tu es de la giboulée mais tu chauffes comme avant Méme la pluie est comme avant méme moi, je suis pareille Seulement les horloges grincent un peu, grincent un peu Tu fus ici et tu y es toujours, seulement tu te caches Je traverse la pluie dans tes traces O, mon Amour Ä Ä Ä Séminaire de traduction - Semestre ďautomne 2009 La pluie marche et je marche avec eile, je marche ä travers la ville que je connais et je cherche des traces d'hier, d'hier, je marche dans la méme direction qu'autrefois et je me souviens et tout me semble plus beau. Oh, amour, tu sens la pluie, c'est ici ou tu as dit, je pense que le vent ventait ä certe époque-lä, le vent ventait il y a des centaines ďannées, tu t'es deshabille de ton manteau et il était grand pour moi, mais il m'a réchauffée, bel amour. Combien de temps, combien de temps je vais encore ä ta rencontre la vie est trěs courte pour un homme, trěs courte mon amour, tu sens la pluie, tu viens des giboulées pourtant tu rechauffes autant qu'autrefois. La pluie méme est pareille qu'autrefois et moi, moi, je suis la méme quelque chose a grincé dans des horloges, dans des horloges tu y étais et tu y es encore, tu te caches uniquement je vais ä travers la pluie dans les traces de tes pas, ô mon amour. Mon amour, tu es embaumé de pluie Sous la pluie je fläne dans une ville connue cherchant des traces noyées dans l'eau. Je prends le méme chemin dont me suis souvenue et tout est pour moi plus beau. Oh, mon grand amour, la pluie ťa embaumé, je pense que le vent alors a souffle, soufflé. II y a des centaines d'années, ta veste enlevée M'était trop grande mais chaude, mon amour. Combien de temps vais-je encore te chercher, mon amour de giboulée, mon amour de pluie ? Pourtant de toi je peux me réchauffer. Ľhomme a trop courte, trop courte vie. Tout est pareil, la pluie et moi aussi, seulement quelque chose craque dans le cours du temps. Tu es cache, je le sais, mais tu es ici. Sous la pluie je vais, sur ta piste, mon Amour. Mon amour, tu sens la pluie La pluie marche et je marche avec eile, je marche dans la ville que je connais et je cherche les traces d'hier, d'hier, je marche dans la méme ville qu'auparavant et je me souviens et tout semble étre plus beau. Ah, mon amour, tu sens la pluie, ici, tu l'as dit, je pense qu'il faisait du vent alors, faisait du vent, il y a des centaines d'années, tu as ôté ton manteau et il était grand mais il réchauffait, mon bei amour. Combien de temps encore, encore, je vais aller ä ta rencontre la vie d'un homme est trěs courte, trěs courte, mon amour, tu sens la pluie, tu viens des giboulées, 2 Séminaire de traduction - Semestre ďautomne 2009 mais tu rechauffes comme autrefois. Méme la pluie, eile est la méme qu'autrefois, méme moi, je suis la méme, il n'y a qu'unje ne sais quoi qui a grincé dans les horloges, dans les horloges, tu as été ici et tu 1'es toujours, tu ne fais que te cacher, je marche dans la pluie dans tes traces, ah mon amour. Ä Ä Ä La pluie passe et je passe avec eile, je passe la ville connue et je cherche des traces de la veille, de la veille, je prends la méme direction qu'autrefois et je songe et les choses simples semblent merveilles. Oh mon amour, tu sens la pluie, t'as dit ici, je pense que ce jour-lä le vent soufflait, le vent soufflait, des centaines ďannées ont passé, ťavais ôté ton manteau il était trop large pour moi mais m'a pourtant chauffée, mon eher amour. Combien, combien de temps j'irai encore ta rencontre, la vie d'un homme est trop courte, trop courte, mon amour tu sens la pluie, tu es des giboulées, toutefois tu rechauffes autant que jadis. Comme la pluie est toujours pareille, autant moi je reste la méme seulement quelque chose a craqué dans ľhorloge, dans ľhorloge, ťétais toujours lá et tu y es encore, seulement tu te caches, je marche dans la pluie et dans tes pas, oh mon amour. Ä Ä Ä La pluie va et je la suis, je traverse la ville que je connais En cherchant les traces d'hier, d'hier, Je prends la direction comme avant et je me souviens Et tout semble plus beau. Oh mon amour, tu sens la pluie, ici tu as dit, Je pense que le vent soufflait ce jour-lä, le vent soufflait, II y a déjä des centaines d'années, tu ťes défait de ton manteau, II était grand mais il me chauffait, mon bel amour. Combien de temps j'irai encore ä ta rencontre, On ne vit que peu de temps, peu de temps, Mon amour, tu sens la pluie, tu es fait de giboulée, Cependant tu rechauffes comme avant. Méme la pluie est teile qu'avant, et moi je suis la méme Seulement quelque chose a grincé dans les horloges du temps, dans les horloges du temps, Tu étais ici, toujours, et tu y restes toujours, mais tu te caches, Je suis sous la pluie tes traces, oh mon amour. *** La pluie coule et je me coule en eile, je traverse ma ville et je cherche des traces de la veille, de la veille je prends le méme sens et 3 Séminaire de traduction - Semestre ďautomne 2009 je me souviens et tout parait étre plus joli Mon amour, tu sens la pluie, tu m'avais dit ici Je crois qu'il faisait du vent ce jour-ci, ce jour-ci il y a des centaines ďannées, ton manteau t'as enlevé méme sije pouvais nager en lui, il m'avait réchauffée, mon bel amour Jusqu'ä quand vais-je marcher Aller ä ta rencontre, La vie d'un homme est trěs courte au present, au present. Mon amour, tu sens la pluie T'es créé du mauvais temps, et pourtant tu me chauffes comme avant La pluie est toujours la méme et moi, je le suis aussi seule l'horloge de la ville s'est cassée ici, s'est cassée ici tu étais toujours la, méme si tu te caches maintenant je suis tes traces dans la pluie ah mon amour *** Coule la pluie et moi avec, la ville qu'on connait bien, en cherchant les traces de la veille, de la veille. Le méme chemin qu'avant, je m'en souviens et eile me sembľ encore plus belle. Mon amour, parfum de pluie, je t'entends dire, je pense que la soufflait le vent, oh le vent. Passent les années, ton manteau, les épaules m'en couvris, il était grand mais m'a servi bien, oh bel amour. Est-ce qu'encore longtemps vers toi, je marcherai, moi, la vie, nos jours, sont assez courts, assez courts. Oh, 1'amour, tu sens la pluie, giboulée, toi, mais tu me fais chaud comme 1 autre jour. La pluie qui, eile, reste la méme, ni moi, j 'ai pas change, juste l'horloge crisse, tout court, tout court. Toi, étant toujours la, maintenant t'es cache, sous la pluie, sur tes traces, je cours, oh mon amour ... *** La pluie va et moi aussi, je vais par la ville de ma connaissance Et je cherche les traces de la veille, de la veille Je prends le méme sens qu'autrefois en rappelant une de mes souvenances Et tout semble plus beau étre Ah, mon amour, tu sens la pluie, c'est ici que tu dis Je pense qu'il ventait l'autre jour, il ventait fort 4 Séminaire de traduction - Semestre ďautomne 2009 Ca fait déjä centaines ďannées, ton manteau, tu ľôtas il m' était grand, pourtant, il me chauffait bien, mon amour beau comme un roi Combien de temps, de temps encore j 'irai ä ta rencontre La vie d'homme trěs courte, trěs courte, eile ľest Mon amour tu sens la pluie, tu es créé de giboulée Or, tu chauffes de la méme maniere qu'autrefois Méme la pluie n'a pas change sa forme ďautrefois Méme moi, je suis toujours la méme Seulement quelque chose grinca dans les horloges Tu y étais et tu n'y es qu'en te cachant sans cesse Je vais par la pluie en suivant tes traces, mon amour *** Tombe la pluie, et je marche oú eile luit, Je marche dans la ville que je connais si bien, Et les traces ďhier, ďhier, je les cherche, cherche Prenant le méme chemin ďantan, je pense et me souviens, Et tout me semble plus beau, tout me semble si bien. Ah mon amour, lä tu m'as dit, tu sens la pluie, Le vent soufflait alors, me semble ; Ca fait si longtemps, et sur mes épaules tu mis Ton grand manteau, trop grand pour moi, trop ample, Mais il me réchauffa, bel amour, mais il me réchauffa. Combien de temps vais-je encore aller ä ta rencontre, Combien de temps ? La vie d'un homme est breve, si breve, Mon amour, tu sens la pluie, sortie du flot des ondes ! Et tu rechauffes pourtant mon cceur au lever de mes réves, Comme hier, comme hier. Et la pluie est semblable ä hier et moi aussi, je suis restée la méme, Mon amour, comme je t'aime, Et la pluie comme hier est la méme, et moi aussi, je n'ai point change, un petit quelque chose, unje ne sais quoi entre les aiguilles a grincé, s'est coincé ; Tu étais lä, et tu ľes encore et toujours, seulement tu te caches, Et je vais dans la pluie, dans tes traces, ô mon aimé, sans que tu le saches. La pluie va et moi aussi, je me balade dans certe ville connue, Et je cherche des traces d'hier, d'hier, Je suis la méme direction, comme autrefois, et je me souviens, Et tout semble plus beau. Oh, mon amour, tu sens la pluie, tu as dit la, Je crois qu'il y avait du vent en ce temps-lä, Ca fait des centaines d'années, quand tu as enlevé ton manteau, II était trop grand, mais il me tenait chaud, mon bel amour. Combien de temps j'irai encore ä ta rencontre, Le temps passe vite, trop vite, Mon amour, tu sens la pluie, tu es de giboulée, Or, tu me chauffes autant qu'auparavant. Séminaire de traduction - Semestre ďautomne 2009 La pluie et moi, nous sommes les mémes qu'auparavant, Ce n'est que quelque chose qui a grincé dans ľhorloge, Tu étais et tu es toujours lä-bas, tu te caches seulement, Sous la pluie, je suis tes traces, oh mon amour. *** Je marche avec la pluie dans certe ville bien connue, Et je cherche des traces d'hier, des traces d'hier. Je marche dans la méme direction qu'avant et je me souviens Et tout me semble étre plus beau. Ah, mon amour tu sens bon la pluie, voici que tu as dit, je pense que vent soufflait alors. II y a des centaines ďannées, tu m'avais offert ton manteau et il m'était large, mais chaud, mon bel amour. Combien de temps, de temps encore je vais marcher vers toi, ľhomme a une vie trěs courte, trěs courte. Mon amour, tu sens bon la pluie, tu viens des giboulées, mais tu me rechauffes pareillement qu'autrefois. La pluie est la méme ainsi que moi, 'y a que quelque chose qui a craqué dans ľhorloge, dans ľhorloge Tu as été et toujours tu es present, mais tu te caches seulement. Je marche sous la pluie sur tes traces, ô mon amour. Mon amour, ľodeur de pluie La pluie m'accompagne, je passe la ville confidentielle et je cherche les traces d'hier, les traces d'hier, je prends le méme chemin qu'autrefois et je me rappeile et tout me semble plus beau, meilleur. Oh, mon amour, ľodeur de pluie, ici tu disais, je me souviens le vent soufflant, le vent soufflant, il y a des centaines d'années, tu avais enlevé ta pelisse et eile me réchauffait, malgré qu'elle ŕut grande, bel amour. Encore combien, combien de temps j'irai te rencontrer, la vie est courte, vraiment, est courte, vraiment, mon amour, ľodeur de pluie, tu es de giboulée, mais tu me chauffes tout comme avant. Moi, je suis toujours la méme comme la pluie, simplement ľhorloge du temps a crié, crié, tu es la comme toujours, seulement dans ton abri, je suis tes traces dans le temps pluvieux, oh, mon amour.