Los vascos se denominan a sí mismos «euskaldunak», es decir, los hablantes de la lengua euskara. El País Vasco está situado en los Pirineos, a caballo entre los estados francés y español, junto al mar Cantábrico, formando el Golfo de Vizcaya. En la antigüedad, la lengua vasca tuvo una extensión mayor que la actual: se supone que en toda la Aquitania (la gran región de Burdeos) se hablaba euskara, o alguna lengua emparentada con él. El euskara es una lengua sonora y dulce, con cinco vocales bien marcadas y un sistema verbal extraordinariamente regular. Es también una lengua isla, sin parientes conocidos, clasificada como pre-indoeuropea, y que no tiene ninguna relación estructural ni con las lenguas latinas ni con las germánicas. Se barajan diversas hipótesis sobre su origen: unos defienden que el euskara es el antiguo ibero, otros la asocian a las lenguas caucásicas, y también se la supone proveniente de un árbol sahariano-bereber. Considerada como un obstáculo para la asimilación política, nuestra lengua ha sido secularmente ridiculizada, prohibida y perseguida por los poderosos y centralistas estados francés y español. La Revolución francesa la consideró enemiga de la luz e instrumento de la reacción católica, Franco la consideró enemiga de Dios y España. No hace mucho, Francia se negó a firmar la Carta de las Lenguas Europeas. En el año 2003, Egunkaria, el único diario de lengua vasca, fue clausurado y precintado por Madrid sin que cometiese delito alguno, y sus directivos detenidos y encarcelados. Este hecho ha merecido numerosas condenas en todo el mundo, desde Amnistía Internacional hasta Salman Rushdie, en su calidad de presidente del Pen Club de los Estados Unidos y coordinador del Comité de Escritores Encarcelados. El euskara es una lengua de rica tradición oral, con un notable conjunto de canciones, baladas y cuentos que pertenecen al gran fondo de la tradición europea. La literatura culta es relativamente joven en euskara, pues arranca en el siglo XVI. Durante largos años nuestra lengua careció de escuelas y de prestigio social, y nuestros principales escritores, inevitablemente, fueron curas y frailes. A mediados del siglo XIX la poesía comenzó a renovarse notablemente, dando lugar en el siglo XX a lo que se ha dado en llamar Pizkundea, una especie de pequeña época dorada de nuestra lírica, truncada por el alzamiento fascista de 1936. La literatura vasca actual constituye una pequeña pero dinámica industria, con una media de trescientos títulos nuevos de ficción cada año. De ellos, la poesía aporta una treintena. Aunque la novela ha experimentado un gran auge en los últimos veinte años, la poesía es, por su calidad y por su pluralidad, la expresión de la moderna conciencia vasca. En basque on se nomme «euskaldunak», ceux qui parlent l'euskara, la langue basque. Le Pays Basque se situe à l'extrême occidental de la chaîne pyrénéenne, donnant sur le golfe de Gascogne, à cheval entre les états français et espagnol. Les anthropologues défendent que le nôtre est le peuple le plus ancien d'Europe. C'est peut-être vrai, mais au XXIème siècle nous nous tournons vers l'avenir, le passé est déj construit. La langue qui nous définit est linguistiquement une île. Il s'agit d'une des rares langues pré-indoeuropéennes d'Europe, elle n'a pas de lien avec les langues germaniques ou latines qui l'entourent. Jusqu'à présent son origine n'a pas été identifiée, et ceci contribue à accroître l'intérêt des linguistes et à la multiplication des recherches. Longuement considéré comme obstacle à l'intégration politique, le basque a été maintes fois ridiculisé, interdit et persécuté par les pouvoirs centralistes de l'état espagnol comme français. Pour les révolutionnaires il s'agissait d'un instrument de réaction catholique contre les Lumières; le général Franco le voyait comme ennemi de Dieu et de l'Espagne. Il n'y a pas si longtemps, la France a refusé de signer la Charte des Langues Européennes. En 2001, Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de l'intérieur, a même déclaré: «On ne peut pas officialiser la langue basque, parce qu'on risque sinon une balkanisation de la France». Notre tradition orale est très variée; des balades, des chansons, des légendes enrichissent la grande tradition européenne. Jean François Cerquand, inspecteur de l'Académie de Bordeaux à Pau de 1874 à 1885, a été le premier à recueillir les légendes et récits populaires basques. Notre littérature écrite culte est relativement récente, elle débute au XVIème siècle en Basse Navarre, trois ans après que Rabelais ait mis le basque en bouche de Panurge. Mais pendant longtemps le basque a été exclu de l'école, et son utilisation se limitait presque à la sphère domestique. Les premiers écrivains furent donc des religieux, les seuls lettrés de la société. Vers la fin du XIXème et le début du XXème, des nouveaux poètes ont surgi, et avec eux une nouvelle littérature rénovée et civile. Le parisien Julien Vinson (1843-1916), professeur d'hindoustani et de tamul à l'Ecole des Langues Orientales et grand connaisseur de l'euskara, a établi la première bibliographie de notre langue en 1891. La littérature contemporaine basque constitue une petite mais dynamique industrie qui produit en moyenne trois cents nouveaux titres de fiction par an, dont trente ouvrages de poésie. Même si le roman a connu un grand succès les vingt dernières années, c'est la poésie qui demeure par sa qualité et sa pluralité la voie d'expression de la moderne conscience basque. J'ajoute qu'ici un lien secret et profond et que rien n'a pu rompre unit, même en dépit des Pyrénées, ces frontières naturelles, tous les membres de la mystérieuse famille basque. Le vieux mot Navarre n'est pas un mot. On naît basque, on parle basque, on vit basque et l'on meurt basque. La langue basque est une patrie, j'ai presque dit une religion. Dites un mot basque à un montagnard dans la montagne; avant ce mot, vous étiez à peine un homme pour lui; ce mot prononcé, vous voil son frère. La langue espagnole est ici une étrangère comme la langue française. Alpes et Pyrénées, 1843 DEUX POÈMES DE VICTOR HUGO ÉCRITS AU PAYS BASQU Et l'antique tilleul, sur cette antique église, comme pour l'embrasser, au souffle de la brise, penchait ses longs rameaux dorés par le ciel bleu, et j'avais le coeur plein de toutes les ivresses, car j'assistais, pensif, aux augustes caresses que la nature fait è Dieu. St. Sébastien, 30 juillet 1843 The Basques call themselves —euskaldunak—, that is to say, the speakers of the Basque language. Au borde des mers quand on sommeille, tout caresse et berce l'oreille ; c'est le bruit du vent sur les flots ; c'est le bruit des flots sur les grèves ; on entend, à travers ses rêves, les chants lointains des matelots. Pasages, 6 août 1843 It is also an island-language, devoid of known relatives, and is classified as pre-Indoeuropean. It has no structural relationship with the Romance languages nor with the Germanic ones. Several hypotheses are put forward as to its origin: some say that Basque is the old Iberian language, while others associate it with Caucasian languages. Others think it may own its origin to a common Saharan-Berber root. Studies on the Basque language and literature have an important reference point in the University of Reno (USA), and its Center for Basques Studies. Considered an obstacle for political assimilation, our language has been ridiculised, prohibitted and persecutted over the centuries by the powerful and centralist French and Spanish states. The French Revolution considered it an enemy of "enlightenment" and an instrument of Catholic reaction, whereas Franco considered it an enemy of God and Spain. Not long ago, France refused to sign the Charter of European Languages. In the year 2003, Egunkaria, the only Basque language newspaper, was closed down and the premises sealed by Madrid without any form of offence having been committed. Its board members were detained and imprisoned. This has led to many complaints being made throughout the world from sources as different as Amnesty International and Salman Rushdie, the latter in his capacity as president of the USA Pen Club and coordinator of the Imprisoned Writers Committee. Basque is a language with a rich oral tradition. It has a remarkable set of songs, ballads, and tales in the great European tradition. Among students of our popular literature, the follwoing stand out: Wenthworth Webster (1828-1907), the Anglican pastor of the English colony at Biarritz, and music scholar Rodney Gallop (1901-1948), author of the well-known "A book of the Basques". Cultivated literature is relatively young in Basque, and starts up in the XVIth century. For years our language had no school backing nor social prestige, and our main writers were all too often monks and priests. Edward Spencer Dodgson (1857-1922) recovered and published many works by authors who had long been forgotten. In the mid-XIXth century, poetry began to develop greatly, giving rise to a small poetry Golden Age in the early XXth century, a period interrupted by the fascist uprising of 1936. Basque literature currently feeds a small but dynamic industry, with an average of three hundred new works of fiction a year. Of these, poetry accounts for about thirty. Although the novel has undergone a major boom in the last twenty years, poetry is, in terms of quality and variety, the true expression of modern Basque conscience. THE OAK OF GUERNICA William Wordsworth, 1810 Oak of Guernica! Tree of holier power Than that which in Dodona did enshrine (So faith too fondly deemed) a voice divine Heard from the depths of its aerial bower- How canst thou flourish at this blighting hour? What hope, what joy can sunshine bring to thee, Or the soft breezes from the Atlantic sea, The dews of morn, or April's tender shower? Stroke merciful and welcome would that be Which should extend thy branches on the ground, If never more within their shady round Those lofty-minded Lawgivers shall meet, Peasant and lord, in their appointed seat, Guardians of Biscay's ancient liberty. Die Basken nennen sich selbst euskaldunak, d.h., die die euskara, die baskische Sprache, sprechen. Das Baskenland liegt in den Pyrenäen, zwischen Frankreich und Spanien, dort, wo das Kantabrische Meer den Golf von Biskaya bildet. Von Anthropologen wird versichert, dass wir das älteste Volk Europas seien. Vielleicht stimmt das auch, aber das ist nichts, worüber sich die Basken des 21. Jahrhunderts den Kopf zerbrechen. Wir schauen nach vorn, in die Zukunft, nicht in die Vergangenheit. Unsere Sprache, klangvoll, sanft, regelmäßig, ist eine sprachliche Insel, ihr verwandte Sprachen sind nicht bekannt. Sie gilt als pre-indoeuropäisch und hat keine strukturellen Gemeinsamkeiten mit romanischen oder germanischen Sprachen. Dies macht sie zum Studienobjekt zahlreicher Forscher, die dabei den Spuren des großen Wilhelm von Humboldt folgen. Da sie stets als ein Hindernis für die politische Vereinheitlichung betrachtet wurde, ist unsere Sprache lange Zeit von den mächtigen und zentralistischen Staaten Frankreich und Spanien ins Lächerliche gezogen, verboten und verfolgt worden. Die Französische Revolution sah in ihr eine Feindin der Aufklärung und ein Instrument der katholischen Reaktion; für Franco war sie die Feindin Gottes und Spaniens. Erst vor kurzem weigerte sich Frankreich, die Europäische Charta der Regional- und Minderheitensprachen zu unterzeichnen. Das euskara ist eine Sprache mit einer großen Tradition der mündlichen Überlieferung und reich an Liedern, Balladen und Märchen. So findet man in unserer Volksliteratur das Märchen des Mannes, der seinen Schatten verkaufte oder seine Seele dem Teufel vermachte.... Nicht, dass wir damit beanspruchen wollten, die Grundlage für Adelbert von Chamissos Peter Schlemihl geboten zu haben; wir fordern lediglich unseren Platz in dem großen Fundus der europäischen Tradition. Die geschriebene Literatur in baskischer Sprache ist relativ jung, ihre Anfänge liegen im 16. Jahrhundert. Über lange Jahre waren unsere bedeutendsten Schriftsteller zwangsläufig Geistliche. Ab Ende des 19. und Anfang des 20. Jahrhunderts aber begannen die Dichter ein großes Werk der Erneuerung, dank dessen wir heute eine beachtliche und vielfältige profane Literatur aufweisen können. Die zeitgenössische baskische Literatur ist ein kleines aber dynamisches Unternehmen, das jährlich durchschnittlich dreihundert neue Veröffentlichungen im Bereich der Belletristik hervorbringt, zu denen die Poesie rund dreißig Titel beiträgt. Zwar gab es bei den Romanen während der vergangenen zwanzig Jahre einen beachtlichen Aufschwung, doch ist es die Poesie, die wegen ihrer Qualität und Pluralität dem modernen baskischen Bewußtsein Ausdruck verleiht. El euskera, la enigmática lengua de un pueblo milenario Los orígenes del euskera, la lengua de los vascos, continúan siendo hoy en día un misterio. Desde el siglo XVI, en el que las raíces del euskera comenzaron a analizarse de manera más o menos rigurosa, las teorías formuladas han sido muchas. De todas ellas, cuatro son las que cuentan con una mayor aceptación entre lingüistas e investigadores. La primera, conocida como teoría del “vasco-iberismo”, sostuvo durante todo el siglo XIX que estos dos idiomas, el vasco y el íbero, eran uno solo. Una segunda hipótesis, a caballo entre los siglos XIX y XX, exponía una serie de similitudes entre el euskera y el berebere. Sin embargo, estudios posteriores vinieron a dictaminar que los paralelismos existentes entre ambas lenguas no eran suficientes para defender unas raíces comunes. La tercera teoría, que relaciona la lengua de los vascos con las caucásicas, continúa contando con el apoyo de muchos lingüistas. El guipuzcoano Koldo Mitxelena encontró ciertas semejanzas entre el euskera y las lenguas del Caúcaso, como por ejemplo la pluralidad en la persona de los verbos y varias palabras concernientes al ámbito de la ganadería y de la agricultura. La cuarta, igualmente respetada, es la que propone para el euskera un origen preindoeuropeo. Estas teorías y algunas más se han venido formulando a lo largo de los siglos. A nivel popular todas ellas han sido aceptadas en mayor o menor medida. Hasta bien entrado el siglo XX, incluso la que planteaba que el euskera fue traído a la península ibérica por Túbal, nieto de Noé, después del episodio de la Torre de Babel, así como la que decía que el euskera era la lengua hablada en el Paraíso, tuvieron su aceptación entre las gentes. Lo único que con seguridad podemos decir hoy y ahora, es que el euskera, la lengua de los vascos, es un misterio lingüístico e histórico que nadie hasta el momento ha sabido resolver. Mitología vasca Si una noche de tormenta se ve una figura de mujer envuelta en llamas, surcando el cielo como una centella, que nadie se frote los ojos: es Mari, la diosa de los vascos, que viaja de una morada a otra. Mari es la divinidad, el genio más popular e importante de la mitología vasca, y, como la mayoría de ellos, es de género femenino. Mari habita en las profundidades de la Tierra, pero a menudo sale de ella por grutas y cavernas a cuya entrada, placidamente sentada, se deja ver. Muchas son las montañas y sierras que Mari tiene como morada (Aralar, Aizkorri, Txindoki, Gorbea…), pero, sin duda, su favorita es el rocoso Anboto, en los montes del Duranguesado. mitologia vasca Baxajaun Otro de los numenes más conocidos es Baxajaun, el Señor de los bosques. Tiene figura humana, y a pesar de su formidable altura, de su espesa barba, de sus largos cabellos que le caen hasta la cintura y de su aspecto feroz, se le tiene en gran estima porque ahuyenta al lobo y avisa a los pastores de la llegada de las tormentas. Gaueko es el Señor de la noche. Por toda Euskal Herria se cuentan leyendas que hablan de muchachas raptadas por Gaueko en escarmiento por salir de noche sin necesidad, desobedeciendo sus mandatos y burlándose de su poder. Junto a los ya nombrados, muchos otros son los genios y divinidades de la mitología vasca que configuran su particular universo: Inguma, Tartalo, Akerbeltz, Aideko, Mamarro, Ieltxu, las presumidas Lamias, los pequeños Galtzagorris… Elementos naturales El pueblo vasco siempre ha sentido gran respeto y veneración por los elementos naturales. Lur, la Tierra, es considerada madre del Sol y de la Luna. A Urtzi, el Cielo, se le atribuyen las lluvias beneficiosas de la primavera. El culto que los vascos han profesado desde siempre a Eguski, el astro solar, se refleja en monumentos de su arte popular. Un claro exponente son las lápidas funerarias, como la que podemos admirar aquí mismo, en el pórtico de la iglesia de Santa María Magdalena de Arrigorriaga, junto al sarcófago de piedra. En bastantes de ellas es posible apreciar rosetones, círculos, figuras que representan al Sol y, en algunas ocasiones, también a Ilargi, la Luna. Con toda seguridad, en más de una población de Euskal Herria quedarán todavía personas que si ahora mismo les preguntáramos si creen en los diversos genios de nuestra mitología, responderían con una sonrisa y con la frase que desde antiguo se recomienda: “Todos los seres que tienen nombre existen, pero no hay que decir que existen”. Herri Kirolak "Te apuesto dos mil reales y una txala a que corto ese árbol en menos tiempo que tú" De este desafío o de otro similar nació, sin duda, lo que hoy se conoce por Herri Kirolak, o Deporte Rural Vasco. Todas las pruebas que conforman el Herri Kirolak, tienen su origen en el trabajo cotidiano desarrollado en el mar, en la montaña y, principalmente, en el caserío. Este último es el que más modalidades ha generado. Entre ellas, una de las más practicadas es el corte de troncos con hacha. Sus raíces podemos encontrarlas en la tala de árboles para la obtención de madera, destinada tanto a alimentar el fuego del caserío como a la producción de carbón vegetal o a la construcción de edificios y barcos. juntas generales El levantamiento de piedras evoca los tiempos en los que no existía maquinaria para mover o transportar rocas de un lado a otro a la hora de construir un muro o una vivienda. Otras especialidades del Herri Kirolak relacionadas con el trabajo en el caserío son el corte de hierba con guadaña; el levantamiento de fardos; las carreras de txingas, derivadas del transporte a mano de las cantinas de leche, y la recogida de mazorcas, que proviene del cultivo de maíz, muy extendido en el País Vasco. Arrastre de piedra Como integrantes de la vida cotidiana de los caseríos, algunos animales también intervienen en varias pruebas del Herri Kirolak. Tenemos así el arrastre de piedra, que puede ser realizado por burros, caballos o bueyes, si bien son estos últimos los que gozan de mayor arraigo y popularidad. No de fuerza, pero sí de carácter y astucia, es el papel del perro en los concursos de perros pastores. En ellos, el compañero más fiel del hombre debe conducir un rebaño de ovejas siguiendo las indicaciones que le va dando el pastor. La sacrificada actividad de los arrantzales de antaño nos ha legado una de las pruebas más espectaculares y bellas del Herri Kirolak: las regatas de traineras. Cuando el deporte de hoy era trabajo, los pescadores se hacían a la mar y remaban con furia para llegar cuanto antes a los caladeros en los que abundaba el pescado y regresar con idéntica prisa a puerto para entregar las capturas del día. También del mundo de la minería se ha conseguido extraer una actividad deportiva. Se trata de las competiciones de barrenadores, en las que los participantes tienen que perforar bloques de piedra golpeándolos con una barra metálica. La pelota vasca Pero no todo el deporte rural vasco proviene del ámbito laboral. Los pórticos de las iglesias de nuestros pueblos fueron la cuna y la escuela de uno de los juegos más arraigados entre los vascos: la pelota. De sus diversas modalidades: mano, pala, remonte, share, cesta punta… es esta última la que más se ha popularizado fuera de nuestras fronteras. En el Deporte Rural Vasco no existe contacto físico entre los contendientes. Ninguna de sus modalidades contempla género alguno de violencia o agresión. Más allá de imponerse al rival, el fin último del Herri Kirolak busca la superación personal, el desafío de cada competidor a sus propios límites.