Unité 25 : Chez Stéphanie

 

Aujourd’hui c’est samedi, et Pavel ne travaille pas. Comme il a le temps, il décide d’aller se promener en ville.
Après avoir acheté quelques livres à la librairie Gibert, il décide de rendre visite à Stéphanie qui n’habite pas loin.

P : Eh bien, ça n’a pas l’air d’aller aujourd’hui. Qu’est ce qui t’arrive ? Tu es malade ?
S : Oui, je ne suis pas dans mon assiette, comme on dit. Je crois que j’ai attrapé la grippe.
P : Ah bon ? Ce n’est pas la grippe aviaire j’espère?
S : Très drôle !! En tout cas je sens que j’ai de la fièvre, je crois que je vais aller chez le
médecin. Mais bon, on ne va pas parler de moi toute la journée. Et toi alors ça va ?
P : Oui, ça va bien. Tu sais, je vais peut-être pouvoir rester travailler à Paris.
S : Ah oui ? Ça c’est une bonne nouvelle.
P : Oui, madame Leblanc, la directrice de ma boîte, m’a proposé un CDI d’ingénieur 
spécialisé. Alors je vais encore réfléchir, mais je crois que je vais accepter sa proposition.
S : Tu as raison, à ta place j’accepterais. Mais qu’en pensent tes parents, ils ne seront pas 
ennuyés si tu restes en France?
P : Pas du tout, j’en ai parlé avec eux, et ils m’ont dit qu’ils étaient très heureux pour moi.
S : Tant mieux. En tout cas, dès que je serai guéri on fêtera ça !


Courts dialogues :

- Bonjour docteur, je viens vous voir parce que je suis enrhumé et que j’ai de la fièvre.
- Bon, allongez-vous, je vais vous ausculter. Oui, je vois que vous avez la gorge très rouge, 
vous avez pris froid ?
- Oui, l’autre soir il pleuvait et il y avait du vent, et j’ai du marcher sous la pluie pendant une 
heure parce qu’il n’y avait plus de métros.
- C’est sûrement à cause de ça que vous avez attrapé la grippe. Bien venez dans mon bureau, 
je vais vous prescrire des antibiotiques. 


- Bonjour monsieur, vous désirez ?
- Voilà, j’ai la grippe et j’aurais besoin de médicaments.
- Oui, vous avez une ordonnance ?
- Ah oui, la voici.
- Bien, je vous donne ce que le médecin vous a prescrit. Par contre ce médicament n’est pas 
totalement remboursé par la Sécurité sociale, vous le prenez quand même ?
- Oui, je n’ai pas le choix, j’aimerais bien guérir rapidement.