2010
Le dernier festin de M.Minxit ou l’importance du repas amical dans Mon oncle Benjamin de Claude Tillier
POUČOVÁ, MarcelaZákladní údaje
Originální název
Le dernier festin de M.Minxit ou l’importance du repas amical dans Mon oncle Benjamin de Claude Tillier
Název anglicky
The last supper of Mr. Minxit or the importance of friendly meal in My uncle Benjamin Claude Tillier
Autoři
Vydání
Congrès international sur Banquets et convivialité , Le Centre d’études du Moyen Age et de la Renaissance de l’Université de Picardie-Jules Verne, 2010
Další údaje
Jazyk
francouzština
Typ výsledku
Prezentace na konferencích
Obor
Písemnictví, masmedia, audiovize
Stát vydavatele
Francie
Utajení
není předmětem státního či obchodního tajemství
Organizační jednotka
Pedagogická fakulta
Klíčová slova česky
Claude Tillier Můj strýček Benjamín francouzská literatura 19. století
Klíčová slova anglicky
Claude Tillier My uncle Benjamin French Literature of the 19th century
Změněno: 11. 1. 2011 10:15, Mgr. Marcela Poučová, Ph.D.
V originále
Claude Tillier est né en 1801 à Clamecy. Dans son roman Mon oncle Benjamin, il a créé l’image de la société rurale insouciante sous l’Ancien régime. Mais le roman est en effet truffé de critiques impitoyables envers les autorités communales et religieuses de l’époque de Nevers et de Clamecy. Cette critique satirique a valu à l’auteur beaucoup de problèmes. Le personnage de Benjamin rejoint dans certain sens celui de Jacques le Fataliste ou de Figaro. Néanmoins, il est bien plus radical est indépendant, c’est déjà le fils de la Révolution que les héros de Diderot et Beaumarchais n’arrivaient même pas à imaginer. Au 20e siècle, le roman a été porté à l’écran en 1969 par Edouard Molinaro.
Anglicky
Claude Tillier was born in 1801 in Clamecy. In his novel My Uncle Benjamin, he created the image of rural society under the ancien regime carefree. But the novel is indeed full of critiques against the municipal authorities and religious at the time of Nevers and Clamecy. This satirical criticism earned the author a lot of problems. The character of Benjamin joined him in the sense of Jacques the Fatalist or Figaro. Nevertheless, it is much more radical is independent, is already the son of the Revolution that the heroes of Diderot and Beaumarchais could not even imagine. In the 20th century, the novel was filmed in 1969 by Edouard Molinaro.